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« Je suis », un documentaire sur les aphasiques aujourd'hui à Boulogne

publié le19/10/2012

    Après un accident ou une attaque cérébrale les aphasiques doivent réapprendre à parler, retrouver la mémoire et certains gestes.                                                                          

Après un accident ou une attaque cérébrale les aphasiques doivent réapprendre à parler, retrouver la mémoire et certains gestes  . 

 

Dans le cadre de la Semaine nationale de l'aphasie, le GAPC (groupe des aphasiques du Pas-de-Calais,

 présidé par Martine Provin, une habitante de Rang-du-Fliers) organise ce soir à Boulogne, à 18 h 30, au cinéma Les Stars, une projection-débat sur ce thème assez peu connu du grand public.

 > Le film : il s'agit du documentaire Je suis, d'Emmanuel Finkiel, sorti en avril dernier sur les écrans. Il entraîne dans une plongée bouleversante au coeur d'un centre de rééducation chargé de s'occuper des personnes qui, suite à un accident ou à une attaque cérébrale, doivent réapprendre à parler, à retrouver la mémoire, à réeffectuer certains gestes...

La caméra suit plus particulièrement trois patients et montre, avec un certain suspense, l'évolution et les progrès dans ce difficile apprentissage, jusqu'à leur sortie. Comment ces consciences altérées peuvent-elles se reconstruire, comment les mots et les souvenirs peuvent-ils revenir ?

 > Un débat : la projection sera suivie d'un débat avec le professeur Devos, neurologue à l'hôpital Duchenne, ainsi qu'avec deux orthophonistes (de l'hôpital Calvé et de Calais).

 > Aphasie et AVC : en France, 125 000 personnes sont victimes d'un AVC chaque année. 30 000 restent aphasiques. 300 000 aphasiques vivent actuellement en France.

Toute la vie de ces personnes et de leur entourage en est considérablement modifié. •  

Ce soir à 18 h 30 au cinéma Les Stars, rue Nationale, à Boulogne-sur-mer. Entrée : 5 E.La Voix Du Nord

 

 

Projection du film "Je suis" d'Emmanuel Finkiel au cinéma "les stars" à Boulogne s/mer le 19 octobre 2012

Journal France3 Cote d'Opale du 19 octobre 2012

 

Journée mondiale de l'AVC à l'hôpital Duchenne : ayez le réflexe du 15 !

 2 9/10/2012

 

| ON EN PARLE |L'AVC ou accident vasculaire cérébral est la deuxième cause de décès dans le monde.

 Infirmières, cadre de santé et associations post-AVC ont tenu un stand dans le hall.

En début de semaine, pour la journée mondiale dédiée à ce grave problème de santé publique, un stand de prévention avait été dressé dans le hall de l'hôpital Duchenne. Nous avons fait le point avec Patrice Devos, cadre de santé en neurologie, et Émilie, infirmière dans le même service.

 

 > Pourquoi une journée entière dédiée à l'AVC ?

 « C'est un enjeu de santé public : 150 000 personnes en sont victimes chaque année en France, dont plus de la moitié garderont des séquelles  ! Rien qu'à l'hôpital de Boulogne - où existe un service de soins intensifs neuro-vasculaire - nous avons admis 500 patients en 2011. On devrait hélas dépasser ce chiffre en 2012... » > L'AVC peut avoir de graves conséquences... « Oui, parfois motrices, des hémiplégies du bras, de la jambe..., ou au niveau de la parole (troubles du langage, perte de la parole)... En France, l'AVC est la première cause de handicap, la 3e cause de décès et la deuxième cause de démence ! »  > Quels sont les symptômes de l'AVC ?

 « Une personne peut penser qu'elle en est victime si elle a un trouble de la vision, de la parole (perte de la parole, difficulté à parler), une hémiplégie, une perte de sensibilité d'un membre, une paralysie aussi, notamment la bouche qui "part en coin"... »  > Que faut-il faire alors ?

 « Appeler le 15 ! Un médecin régulateur va évaluer le problème au téléphone et décider d'appeler le SMUR, voire orienter vers un service neurovasculaire qui prendra en charge le patient et le fera bénéficier, s'il le faut, d'une thrombolyse. Il s'agit de l'injection d'un anticoagulant qui va dissoudre l'artère cérébrale bouchée par un caillot de sang. Mais attention, il faut se dépêcher, chaque minute compte. Cela doit être fait dans les 4 h après l'apparition des symptômes. Plus c'est pris tôt, plus on a de chances de récupérer. »  > Quels sont les facteurs de risques ?

 « L'hypertension, le tabac, l'alcool, le cholestérol, le diabète, la surcharge pondérale... On est hélas une région très touchée par tout cela. Depuis 4 ans, la prise en charge d'AVC ne cesse de croître à l'hôpital Duchenne ! »  > S'il n'y avait qu'une chose à retenir...« Le souci est que, encore aujourd'hui, il y a une méconnaissance de l'AVC. S'il n'y a qu'un conseil à donner, c'est d'appeler le 15 dès qu'on en ressent des symptômes ! Même en cas de doute, il ne faut pas hésiter. »  •

PROPOS RECUEILLISPAR EMMANUELLE DUPEUX

 

Pour joindre le Groupe des aphasiques du Pas-de-Calais : provinmartine@aol.com Tél. 03 21 94 39 34. Site Internet : www. aphasique62.jimdocom

          La Voix Du Nord

 

 

 l'accident vasculaire cérébral tue ou peut laisser des séquelles irréversibles...

 

                                                 

                      Agir Vite pour le Cerveau

Tel pourrait être le mot d'ordre de la journée de l'AVC, célébrée chaque 29 octobre.

L'objectif principal de cette journée est essentiellement de sensibiliser le maximum de personnes à cette grande cause de santé publique en les incitant à composer le 15 (pour la France) dès l'apparition des premiers symptômes.

Connaissons-nous les signes avant-coureurs des AVC ?

  • Paralysie ou engourdissement brutaux d'un coté du corps
  • difficultés soudaines à s'exprimer
  • perte de l'attention
  • diminution très brutale de la vision d'un oeil

Faute d'une prise en charge très rapide, les lésions peuvent devenir irréversibles. Chaque minute compte.

L'ancienne ministre de la santé français, Madame Roselyne Bachelot, avait rappelé la nécessité de se mobiliser pour réduire la fréquence et la gravité des séquelles fonctionnelles des AVC.

La ministre dressait alors un état des lieux chiffré de la situation française, pour le moins alarmant : Les attaques cérébrales touchent chaque année 150.000 nouvelles personnes, se positionnant ainsi à la troisième place dans les cause de mortalité en France.

Un site à visiter : sante-medecine.commentcamarche.net

                               http://www.sante.gouv.fr/liens-utiles,4095.html